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Antibiorésistance de Campylobacter jejuni isolés de poulets et dindes de chair en France

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Situation de la FCO à sérotype 4 (FCO-4) en Corse au 20 mars 2018

Après la première confirmation de la présence du sérotype 4 du virus de la fièvre catarrhale ovine (FCO-4) en Corse en décembre 2016, 263 foyers de FCO-4 ont été confirmés à la date du 20 mars 2018 dont 122 en Corse-du-Sud et 141 en Haute-Corse. Au total, 208 foyers ont été détectés chez les bovins, 52 chez les ovins et trois chez les caprins. Sur ces 263 foyers, 206 ont été détectés dans le cadre de la surveillance programmée chez les bovins, 56 dans le cadre de la surveillance événementielle et un dans le cadre de la surveillance des mouvements d’animaux.

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Installation de la tique Hyalomma marginatum, vectrice du virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo, en France continentale

La tique Hyalomma marginatum, l’un des principaux vecteurs du virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo, est présente en Corse depuis plusieurs décennies. En France continentale, son installation est apparemment bien plus récente : les premières observations convaincantes de sa présence pérenne datent de 2015, les mentions antérieures ne signalant que des spécimens isolés possiblement introduits par des oiseaux migrateurs. Une enquête a été réalisée au printemps 2017, afin de déterminer plus précisément la distribution actuelle de l’espèce.

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Évolution de la situation épidémiologique de la fièvre catarrhale ovine en Europe de 2014 à 2017

Depuis 2014, de nombreux foyers de fièvre catarrhale ovine (FCO) sont déclarés en Europe chaque année, principalement de sérotype 4, mais aussi de sérotype 1 (Italie, Croatie, Espagne, Portugal) et de sérotype 8 (France, Chypre, Suisse). On observe une diminution du nombre de foyers de FCO-1 depuis 2014, ainsi qu’une augmentation du nombre de foyers de FCO-4 et, depuis 2015, de FCO-8. L’année 2017 a été marquée par une importante épizootie de sérotype 4 qui a frappé la Sardaigne et la Corse de fin juin à décembre 2017 et l’introduction de ce sérotype 4 en France continentale.

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Usages et pratiques en antibiothérapie en élevage bovin laitier et allaitant : étude descriptive dans la Loire et le Puy-de-Dôme

L’antibiorésistance est une préoccupation majeure à travers le monde. En France, deux plans nationaux successifs ont contribué depuis 2011 à une diminution conséquente de l’utilisation des antibiotiques et les chartes de bonnes pratiques visant une amélioration des pratiques en antibiothérapie dans l’ensemble des filières animales sont nombreuses. L’identification et le suivi des pratiques des éleveurs et des vétérinaires sont nécessaires à l’adaptation des recommandations.
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Estimation de l’utilisation des antibiotiques par les éleveurs de bovins laitiers et allaitants : enquête de terrain basée sur les documents d’élevage

En France depuis 2011, deux plans nationaux successifs ont été mis en place afin de réduire les risques d’antibiorésistance en médecine vétérinaire. Pour orienter les recommandations et évaluer les effets des mesures prises, le suivi de l’utilisation des antibiotiques est nécessaire. Une enquête a été réalisée en 2015 auprès de 22 éleveurs de bovins pour quantifier les usages des antibiotiques à partir des documents d’élevage. Le nombre moyen de traitements par animal et par an a été calculé pour chaque élevage selon le type de production (laitier ou allaitant), la classe d’âge des animaux (jeunes ou adultes), la voie d’administration et la famille d’antibiotiques utilisée. Les élevages laitiers étaient de plus gros utilisateurs d’antibiotiques que les allaitants (médiane de 2,93 traitements par bovin adulte laitier contre 0,51 traitement par adulte allaitant). Cette différence était principalement due à une utilisation plus importante des traitements intra-mammaires chez les adultes (médiane de 2,60 traitements par vache laitière contre 0,02 par vache allaitante). Les familles les plus utilisées par voie parentérale chez les adultes étaient les aminoglycosides, les pénicillines et les tétracyclines. Toutes voies d’administration confondues, les jeunes animaux étaient peu traités, et de manière comparable dans les deux types de production (médiane de 0,17 traitement par jeune bovin allaitant et 0,22 par jeune bovin laitier).

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REPARTITION GEOGRAPHIQUE ET DISTRIBUTION TEMPORELLE DE LA CIRCULATION DU VIRUS SCHMALLENBERG EN FRANCE EN 2016

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Bilan de la surveillance des maladies réglementées et troubles des abeilles domestiques Apis mellifera pour l’année 2015

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Bilan de la surveillance de l’Influenza aviaire en France en 2015

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Bilan de la vigilance à l’égard des pestes porcines classique et africaine en France métropolitaine et Outre-mer en 2015

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